Développement durable

De la recherche à la production, une startup Made…

SUBLIME Energie développe une technologie de production de carburant décarboné à partir de déchets organiques.

La méthanisation permet de transformer des déchets organiques, sources de coûts et de pollution, en énergie décarbonée. Afin de maximiser ses impacts, la filière méthanisation française a aujourd’hui besoin d’augmenter la taille du gisement de biomasse accessible tout en réduisant les coûts de la filière.

La démocratisation de la méthanisation en milieu diffus offre un potentiel important d’augmentation de la taille du gisement en s’appuyant sur la méthanisation à la ferme et la méthanisation des boues de stations d’épuration, mais nécessite la levée d’un verrou technique et économique concernant le portage du gaz produit pour le valoriser sous forme de biométhane. De plus, cela permet la diversification des usages pour les petites exploitations situées loin des réseaux gaziers et qui sous réserve d’une rentabilité suffisante ne peuvent à ce jour que se tourner vers la cogénération.

SUBLIME Energie propose une solution de portage par camions, s’appuyant sur une technologie unique au monde de liquéfaction de biogaz, à haute efficacité énergétique, développée au Centre d’Efficacité énergétique des Systèmes de MINES ParisTech (CES) dirigé par Maroun Nemer.

SUBLIME Energie développe des équipements industriels qui permettront la mise en place, dans une logique d’économie circulaire territoriale, d’un nouveau service de collecte, transport, épuration et conditionnement du biogaz, offrant une valorisation sous forme de bioGNV physique (bioGNL et bioGNC) substituable à l’essence et au gasoil et sous forme de biométhane injecté dans les réseaux gaziers. Son concept permet également la production d’une source pure et concentrée de bioCO2 substituable au CO2 fossile, utilisé aujourd’hui dans de nombreux secteurs industriels et agro-alimentaires.

SUBLIME Energie est une société à mission et une startup Deep Tech, fondée en juillet 2019 par Bruno Adhémar, Nicolas Bréziat et Rodrigo Rivera-Tinoco, dans le cadre du Mastère Spécialisé “2nd life – Deep Tech Entrepreneur ” de MINES ParisTech et de l’IHEIE. Elle a obtenu le label MINES ParisTech Spin-off ™ en 2020 suite à la signature d’une convention de valorisation avec MINES ParisTech et ARMINES.

SUBLIME Energie est lauréat du concours ADEME I-Nov 2020.

Sa raison d’être s’articule autour de trois axes :

● Développer l’utilisation du biogaz pour substituer les gaz renouvelables aux énergies fossiles,,
● Développer l’activité et l’économie circulaire dans les territoires, notamment en termes d’emploi, d’attractivité et d’indépendance énergétique,
● Valoriser la recherche dans ces domaines.

Bruno Adhémar, cofondateur et président de SUBLIME Energie, a travaillé 27 ans chez Orano (ex Areva). Il a notamment co-dirigé de 2007 à 2012, la Business Line Transports de la BU Logistique d’AREVA. En 2000-2001, il a été coordinateur technique pour la construction d’une unité de traitement des fluides contaminés, issus de l’accident de Tchernobyl. D’avril à juillet 2011, il était au Japon en tant que chef de projet de la première unité de décontamination de l’eau, issue de l’accident de Fukushima Daïchi. A son retour il a piloté jusqu’en 2018 la mise en place de la FINA, la Force d’Intervention Nationale en cas d’accident nucléaire grave.

Nicolas Bréziat, cofondateur et directeur général de SUBLIME Energie, a travaillé pendant 23 ans chez Vallourec. Il a occupé différents postes dans la R&D et l’innovation, d’abord pour le marché automobile puis celui de l’exploration et de la production pétrolière. Il a notamment piloté le développement technique de connecteurs mécaniques et de revêtements multi-fonctions en partenariat avec le Japon et les USA. Il a été directeur R&D de Vallourec Drilling Products.

Rodrigo Rivera-Tinoco, cofondateur et conseiller scientifique de SUBLIME Energie, docteur en physique. Il est responsable d’une équipe de 6 chercheurs au Centre d’efficacité Énergétique des Systèmes (CES) de MINES ParisTech à Palaiseau. Il est également responsable adjoint du Mastère Spécialisé en Ingénierie et gestion du gaz. Il a une forte expérience dans les domaines du captage et de la valorisation du CO2, du traitement et de la liquéfaction des gaz.

L’équipe SUBLIME Energie au complet
de gauche à droite, en haut : Kaoutar El Hmidi, Nicolas Bréziat, Chourouk Nait Saidi, Bruno Adhémar;
en bas : Solène Pigné, Tristan Dollé, Rodrigo Rivera-Tinoco

Notre CHAIREécole #6

Soutenue par la Fondation Mines ParisTech, la Chaire Economics of Natural Gas a été fondée en avril 2016 par quatre institutions universitaires : MINES ParisTech, l’Université Paris Dauphine – PSL, l’Ecole d’économie de Toulouse et l’IFP. Ces institutions françaises ont été récemment rejointes par l’Institut allemand de recherches en économie (DIW).

François Lévêque, professeur d’économie à MINES ParisTech dirige la chaire, en association avec Olivier Massol, professeur associé à l’IFP School, Anna Creti, professeure d’économie à l’Université Paris-Dauphine, Carole Haritchabalet, professeure à l’Ecole d’économie de Toulouse et Christian von Hirschhausen, professeur à l’Université de technologie de Berlin.

Pour mieux comprendre les travaux, objectifs et perspective d’avenir de la chaire, nous avons demandé à François Lévêque de répondre à nos questions.

Interview de François Lévêque – directeur de la Chaire Economie du Gaz Naturel

Pourquoi avoir créé cette chaire ? Quels étaient les besoins ?

Il y avait deux besoins ; le premier était de comprendre la place du gaz naturel dans la transition énergétique en Europe. Sachant que le gaz naturel est certes, une énergie carbonée, mais beaucoup moins carbonée que le charbon. Lorsque le gaz se substitue au charbon, c’est bon pour la planète. Il y avait le motif de s’interroger sur ce que pouvait être la place du gaz dans le mix énergétique européen, en attendant un monde où il n’y aurait que des énergies renouvelables non carbonées et pouvant être stockées.

La deuxième motivation était liée à un objectif pédagogique de la chaire. Il se trouve qu’en France, les cours d’économie de l’énergie sont en fait des cours d’économie de l’électricité. Ce qui se comprend dans le sens où la France n’est pas productrice de gaz mais grâce au nucléaire, elle a de l’expérience et des capacités en matière d’électricité. L’idée était de compléter les enseignements classiques par des interventions de gens de terrain et des spécialistes de l’économie du gaz.

Y avait-il des objectifs professionnels ? Des recommandations à fournir sur l’avenir du gaz naturel ?

Pas particulièrement, c’est une chaire d’économie. Les économistes sont très nuls en prospective. La discipline sait regarder le passé et on fait de l’économétrie grâce à ces données passées. On sait faire de l’analyse mais généralement, quand on est bon en analyse, on n’est pas assez créatif pour prévoir le futur.

Dans le domaine énergétique, il y a beaucoup de prospective, d’élaboration de scénario, mais ce n’est pas l’objectif de notre chaire.

La fin du cycle est proche puisque la chaire a été lancée en avril 2016, prévoyez-vous un renouvellement ?

Absolument, nous sommes en train d’en discuter avec nos mécènes. Il est prévu un renouvellement de cinq années à partir d’avril 2021.

Quelles sont les conclusions de vos recherches ?

Deux conclusions principalement. Sur l’aspect pédagogique, il y a eu des travaux de thèse qui ont été réalisés grâce au financement de la chaire et qui ont porté sur l’économie du gaz.

Sans cette chaire, nos doctorants auraient travaillé sur l’économie de l’énergie mais en électricité, pas sur le gaz. On a formé des gens, notamment les docteurs, qui autrement n’auraient pas été formés au domaine gazier.

L’autre conclusion est qu’il y a la place en Europe pour du gaz naturel comme énergie de substitution au charbon et comme énergie faiblement carbonée, intermédiaire avant un horizon où l’énergie renouvelable non-carbonée et le stockage permettront de ne plus avoir besoin d’énergies faiblement carbonées, comme le gaz.

Comment envisagez-vous l’avenir de la chaire après son renouvellement ?

Le renouvellement de la chaire est en discussion donc on a des projets mais on ne sait pas lequel va être retenu. Il y a sans surprise des projets qui portent sur les gaz verts que ce soit le méthane ou le gaz bleu d’hydrogène. C’est-à-dire que dans le cadre du renouvellement, la chaire changerait de nom et Economie du Gaz Naturel deviendrait Economie du Gaz. Sachant que le gaz naturel c’est le méthane qui est d’origine carbonée et ce gaz vert est aussi du méthane d’origine agricole. Donc ce serait aussi s’intéresser à l’hydrogène, à la façon dont on peut stocker de l’électricité sous forme d’hydrogène et le réinjecter dans le réseau sous forme d’électricité. On réfléchit à une ouverture plus grande sur l’hydrogène, sur le gaz vert.

C’est une chaire qui s’appuie sur plusieurs institutions, comment se passait cette collaboration ?

Très bien, c’est quelque chose de rare. Souvent chaque école a sa chaire sur des sujets qui sont pourtant les mêmes. Là, ma décision dès le départ était de construire une chaire collaborative. Il n’y avait pas de raison que ce soit mon laboratoire qui réalise ces travaux. Il y avait aussi une raison objective en dehors du fait qu’on est plus intelligent à plusieurs, c’est qu’il y a suffisamment peu de ressources en hommes et en travaux académiques pour les mobiliser, avec des personnes à Montpellier, Dauphine ou Toulouse. Le but était de les réunir et de travailler collectivement dans ce domaine où en France, pour des raisons historiques, la réflexion est insuffisamment développée..

Nos laboratoires étaient proches. Je dirige la chaire mais il y a une directrice scientifique Anna Creti, le directeur exécutif de la chaire Olivier Massol et c’est une équipe de plusieurs institutions.

Pour en savoir plus sur la Chaire Economie du Gaz Naturel

Entrepreneuriat et Développement Durable

Pour les Ingénieurs civils de l’École, la création d’entreprise dans le domaine du Développement Durable n’est pas chose nouvelle. En voici quelques exemples qui montrent la diversité des façons dont les entrepreneuses et entrepreneurs de MINES ParisTech s’attaquent à cette question.

En 2006, Amaury Korlinoff (P86) co-crée Solaire Direct qui devient plus important producteur d’énergie solaire en France, également implantée aux États-Unis, au Chili, Afrique du Sud et en Inde. Dix ans plus tard, Engie annonce son acquisition pour près de 200 millions d’euros.

En 2011, Benjamin Saada (P07), Vincent Tejedor (ICM07) et Jean-Charles Samuelian fondent Expliseat qui conçoit, produit et commercialise un siège d’avion trois fois plus léger que celui de ses concurrents. Un Airbus A321 ainsi équipé pèse 2,2 tonnes de moins, réduit sa consommation de kérosène de 400 000 $ par an et diminue ses émissions de CO2 de 800 tonnes par an.

En 2014, Yespark est fondée par Thibaut Chary (P11) et Charles Pfister. L’entreprise permet à des particuliers de louer des places de parking au mois. Aujourd’hui Yespark gère 40 000 places de parking en France, places d’immeubles collectifs qui étaient pour la plupart inoccupées et évite ainsi à autant d’automobilistes de tourner en rond en cherchant… une place.

Camille Delamar (P08) a co-fondé en 2017 Écotable qui valorise les restaurants les plus durables et permet ainsi au grand public de les sélectionner. Pour cela l’entreprise s’appuie sur des critères qui tiennent compte de l’ensemble des sources d’impact environnemental et labellise les établissements les remplissant. Écotable offre ses services au secteur de la restauration pour l’accompagner dans sa transition écologique. Parmi les nombreux labellisés on trouve à la fois des restaurants de quartier et des tables étoilées.

DereChef vient d’être créée par Sophie Peccoux (P17), diplômée depuis quelques mois. La start-up apporte une solution d’emballages réutilisables, simple et globale pour la vente à emporter, accompagnant par-là les consommateurs et les restaurateurs dans leur démarche environnementale.

Philippe Mustar
Responsable de l’option Entrepreneuriat et du Prix Entrepreneuriat

Monaco Solar & Energy Boat Challenge

Chaque année, le Yacht Club de Monaco organise durant la première semaine de juillet le « Monaco Solar & Energy Boat Challenge », une compétition destinée à promouvoir de nouvelles technologies pour la navigation maritime. Environ 350 étudiants, venus d’universités et d’écoles d’ingénieurs du monde entier, mettent à l’épreuve leurs solutions techniques « zéro carbone » pour propulser un bateau à l’aide d’une réserve d’énergie de 5kW ou de panneaux solaires.

Pour l’édition 2021 qui se tient du 6 au 10 juillet, l’Ecole participe, pour la première fois, en s’alignant dans la classe « Energie », grâce au soutien de la Fondation. Selon la jauge de cette classe, la plus ouverte à l’innovation, une coque de type catamaran de 5 mètres est fournie par les organisateurs, et les équipes doivent concevoir et fabriquer le cockpit, la propulsion, la direction et les systèmes de contrôle de l’embarcation.

Au-delà de cette première participation, l’ambition du projet est clairement de fédérer à plus long terme étudiants et chercheurs de l’Ecole autour de ce challenge d’ingénierie innovante, en planifiant une participation durant les cinq années à venir, dans une logique de capitalisation d’expérience. La construction du bateau mobilise ainsi des enseignants-chercheurs du site de Sophia Antipolis, les centres CEMEF, PERSEE, OIE et CRC, ainsi que des élèves du Cycle Ingénieur civil et des doctorants, l’occasion pour la Fondation de financer un projet par tous les acteurs de MINES ParisTech.

A ce jour l’équipe a créé le jumeau numérique du prototype, a débuté le développement du poste de pilotage et lancé les premiers tests du dispositif énergie/motorisation/propulsion. L’entreprise Symbio accompagne ce travail en fournissant une pile à hydrogène spécialement adaptée à la compétition et mettant à disposition deux ingénieurs pour accompagner l’équipe pendant le projet.

Retour sur la conférence de Jean-Marc Jancovici

Mardi 26 janvier 2021, Jean-Marc Jancovici est intervenu dans le cadre des « Visioconférences de la Fondation » sur le thème : Réflexions sur le rôle de l’ingénieur des Mines dans le contexte actuel. Près de 200 personnes se sont connectées pour suivre cette conférence, poser leurs questions et apporter de nouveaux éléments de réflexion.

Jean-Marc Jancovici a abordé de multiples thématiques dont son parcours personnel, qui l’a conduit à travailler à l’ADEME sur le développement de la comptabilité Carbone, le Bilan Carbone, mais aussi la question du réchauffement climatique et de la transition énergétique. Pour appuyer son propos, il est revenu sur des notions fondamentales en matière d’énergie en soulignant la variété des champs couverts par ce sujet. Dans ce contexte, l’ingénieur des Mines se présente comme une figure polyvalente, capable de comprendre et d’aborder le sujet sous son aspect scientifique, économique et social. Il appelle les jeunes ingénieurs à être acteurs du changement, en mobilisant les compétences acquises à l’École des Mines de Paris.

Voir ou revoir la visio-conférence

Pour en savoir plus sur les travaux de Jean-Marc Jancovici :

• vous pouvez consulter son site : https://jancovici.com/

• vous pouvez re(voir) ses cours à MINES ParisTech en cliquant ici

Mettre son patrimoine au service de l’École des Mines

En 2019, grâce à Raoul Charreton (P44), la Fondation Mines ParisTech a reçu son premier legs significatif. À cette occasion, la Fondation revient pour vous sur les différentes formes de legs qui existent.

Le saviez-vous ?
La Fondation Mines ParisTech, reconnue d’utilité publique depuis 1947, est habilitée à recevoir des legs et autres libéralités en franchise de droits de succession.
Faire un legs à la Fondation Mines ParisTech, quel que soit le montant, c’est s’assurer de faire perdurer sa mémoire à travers nos valeurs communes.

Que puis-je transmettre ?
Par un legs, vous transmettez tout ou une partie de votre patrimoine au profit de la Fondation en le stipulant dans votre testament (nous vous conseillons pour cela d’aborder le sujet avec votre notaire). Plusieurs possibilités s’offrent à vous afin d’exprimer au mieux vos volontés :
Le legs universel : en faisant un legs universel au profit de la Fondation Mines ParisTech, vous décidez de nous transmettre l’intégralité de votre succession. Vos héritiers touchent leur part en priorité, dite « la réserve héréditaire ».
Le legs à titre particulier: cette disposition permet à la Fondation de recevoir un ou plusieurs biens précis, déterminés au préalable par le testateur. Par exemple, grâce à un legs de 23 400 €, vous financez 3 ans de bourse pour un étudiant ingénieur civil ; en léguant un appartement parisien, vous logez jusqu’à 10 élèves près de l’École.

Vous souhaitez en savoir plus sur les libéralités ?
Nous mettons à votre disposition, sur simple demande, notre brochure legs et donations.

nous contacter

Vous avez des questions relatives aux libéralités?
Vous pouvez contacter notre expert en fiscalité et Délégué général de la Fondation :
Antoine Battistelli – antoine.battistelli[a]mines-paristech.fr – 01.40.51.90.21

En savoir plus

Ils ont planché sur le village olympique des JO…

En août dernier, la « 7th International DHC* + Summer School » a réuni pendant une semaine, trente jeunes professionnels et doctorants issus de quatorze pays différents à MINES ParisTech, afin de se pencher sur les systèmes énergétiques du futur.
Créée par l’association Euroheat & power et soutenue par la Fondation Mines ParisTech, cette semaine dédiée aux réseaux de chaleur et de froid a permis aux stagiaires de travailler sur des concepts innovants de réseaux thermiques pour le futur village olympique des JO de Paris 2024. L’équipe gagnante a proposé un concept innovant reposant sur la géothermie, des pompes à chaleur réversibles et des stockages de chaleur et de froid qui serviraient aussi de mur d’escalade, nouvelle discipline olympique.

► En savoir plus
► Découvrir les photos de cette semaine

*DHC : « District heating and cooling » = réseaux de chaleur et de froid

Eco Solar Breizh sur le podium du Moroccan Solar…

À l’initiative de l’IRASEN (Institut de Recherche en énergie solaire et énergies renouvelables), le Moroccan Solar Race Challenge est organisé tous les ans depuis 2013 à Benguérir. Il s’agit de la première course de voitures solaires en Afrique.
Les participants, des étudiants venus des quatre coins du monde, doivent parcourir cent cinquante kilomètres, contre soixante-quinze kilomètres auparavant entre la ville de Marrakech et la ville de Benguérir.
Cette cinquième édition a été remportée par l’équipe « Héol » de l’association brestoise créée en 2010, Eco Solar Breizh ! Soutenue par la Fondation Mines ParisTech, elle est dédiée aux courses internationales de véhicules fonctionnant à l’énergie solaire.
Son travail et son endurance lui ont permis de franchir la ligne d’arrivée quatorze minutes avant les seconds et plus d’une heure trente avant les derniers ! Les 150 kilomètres ont été parcourus en 1h19, le meilleur temps depuis la création de la course avec en bonus 50 % d’énergie restant dans les batteries.

Félicitations à eux !

La voiture du futur est aux portes de votre…

(Heol, voiture solaire du Team Eco Solar Breizh, sponsorisée par la Fondation Mines ParisTech, était de passage à l’École des Mines de Paris en 2015.)

« Eco Solar Breizh a pour ambition depuis 2010 de promouvoir la mobilité douce et de démontrer aux futures générations les innovations dans ce domaine.
Eco Solar Breizh est ainsi un tissu de partenaires tant académiques qu‘entreprises où chacun apporte une contribution. Cette dernière pérennise le savoir transmis aux jeunes générations à travers de nombreux stages et présentations au sein des établissements scolaires.
 »
Jean-Luc Fleureau, Président Eco Solar Breizh

Eco Solar Breizh est une association d’origine brestoise créée en 2010 et composée de 23 membres bénévoles, retraités ou salariés, passionnés d’automobile. Elle est dédiée aux courses internationales de véhicules fonctionnant à l’énergie solaire.
Elle s’est donnée pour objectif de révolutionner les pratiques automobiles urbaines en créant Hx2, une voiture à mobilité douce. Équipée de panneaux solaires et d’une pile à hydrogène, elle passera de l’état d’expérimentation à la commercialisation d’ici 2020.

80 kilomètres par jour pourront être réalisés en totale autonomie !

La Fondation Mines ParisTech appuie l’association dans ces démarches innovantes qui construisent le monde de demain.