Patrimoine

Un nouveau FABLAB pour les élèves

Pour accompagner la réforme du cycle Ingénieur civil, l’Ecole continue sa rénovation d’espaces clés pour s’adapter aux enjeux du XXIe siècle. Dans le prolongement des travaux de la salle Dufresnoy, la prochaine étape consiste à transformer l’actuelle salle audiovisuelle en FabLab.

Cet espace, proche des salles de cours et des lieux de vie, doit être une véritable vitrine high-tech de l’école. Actuellement les équipements haute technologie de l’école se trouvent dans un grand atelier où se mêlent travaux des métaux, travaux du bois et impression 3D. Les particules liés au gros œuvre peuvent endommager les circuits des équipements propres. Les isoler de l’atelier est donc nécessaire pour les utiliser dans les meilleures conditions. C’est également l’occasion d’enrichir la flotte de ces machines high-tech pour permettre aux élèves-ingénieurs de développer des projets toujours plus exigeants. Cette nouvelle version du FabLab remplit donc quatre objectifs :
1. Disposer d’un espace agrandi et dédié.
2. Augmenter le parc machine pour offrir des capacités de production plus élevées.
3. Investir dans de nouvelles machines permettant de couvrir un plus large spectre sur les capacités de production du FABLAB.
4. Choisir des machines offrant de nouvelles possibilités en terme de prototypage, de fabrication de pièces (pour les projets ou l’outillage de recherche).
De fait, les nouvelles machines requises sont essentiellement des imprimantes 3D ayant chacune des capacités très spécifiques comme l’imprimante en stéréolithographie, qui permet d’imprimer des structures avec une précision de 50 microns ou les imprimantes 3D Markforged permettant de combiner polyamides et renforts matériaux en fibre longue. Dans les machines à acquérir se trouvent aussi une découpe laser de grande capacité et une thermoformeuse, pouvant être utilisée avec des impressions 3D de moules précis pour des robots en Mécatro et des drones en MecAéro.

Les transformations de ce nouvel espace ne peuvent avoir lieu que grâce à votre soutien. En rénovant des espaces de travail et d’enseignement, nous donnons aux élèves les moyens de se former au quotidien et de devenir les ingénieurs de demain.

 

Numérisation de nos ouvrages

Le soutien de la Fondation au patrimoine de l’École ne concerne pas que la rénovation d’espaces, mais également l’entretien des collections muséographiques et archivistiques qui constituent l’héritage des élèves. Votre don peut être dédié à la restauration de documents, de livres anciens, mais aussi à la numérisation de registres et de documents pour pérenniser la mémoire des Mines.

Créés au XVIIIe siècle, le Musée de Minéralogie (ouvert au grand public toute l’année), la Bibliothèque de l’Hôtel Vendôme et son fonds ancien (ouverte lors des Journées européennes du patrimoine) sont au cœur du patrimoine de Mines Paris et participent à l’enrichissement du 60 boulevard Saint Michel.

La Bibliothèque de l'École des Mines de Paris

« On a 250 ans d’Histoire à portée de main, il faut les utiliser. » Ludovic Bouvier, archiviste de l’École.

Depuis octobre 2017, Ludovic Bouvier s’attèle à faire vivre les archives de l’École des Mines de Paris et accompagne tous les services de l’école qui veulent se replonger dans le passé de notre institution. Issu d’une formation en histoire et en archivistique, il nous aide à accéder au passé de l’École. En effet, grâce aux documents conservés depuis 1816, le fonds permet de retracer le quotidien de l’École depuis le XIXe siècle. La contribution d’anciens élèves permet au fonds de s’enrichir en permanence de nouveaux documents.

Ce travail de mémoire nous permet d’en savoir plus sur des événements marquants comme la Commune ou l’Occupation, mais aussi sur les élèves ayant parcouru les couloirs de l’école, en se replongeant dans les dossiers d’inscription.

Le fonds des archives possède une collection de journaux d’élèves comme le Vendôme, l’Abatage ou le Gisement, qui permet de revivre le quotidien des élèves. « On peut reconstituer l’histoire de l’école et grâce à tous les documents, recomposer pour des anniversaires de promotion, leur passage dans les murs de l’Hôtel de Vendôme. » Ce fut le cas pour la promotion 1959 qui, à l’occasion de son anniversaire, fêté à l’école, a pu retrouver ses manuels de cours, les photos des professeurs, ses photos de promotion et sa Petite Revue.

Grâce aux archives, une exposition a pu être organisée au moment de l’inauguration de l’amphithéâtre Schlumberger, présentant notamment les transformations du bâtiment et l’histoire de la façade Saint Michel, construite par François-Xavier Duquesney.

Les Journaux de voyage des élèves, un trésor du patrimoine de l’Ecole des mines

La bibliothèque de l’Ecole des Mines de Paris conserve un fonds d’environ 2300 Journaux de voyage manuscrits rédigés par les élèves ingénieurs au XIXe siècle, à la suite de leur visite de sites industriels et miniers en France et à l’étranger. Ces journaux présentent un grand intérêt pour l’histoire des sciences et de l’innovation technique grâce à leurs descriptions minutieuses et illustrées de procédés industriels observés sur le terrain.

Témoignage direct du cursus de certains des plus éminents ingénieurs des mines, anciens élèves, professeurs ou directeurs de l’Ecole, la collection des Journaux de voyage est précieuse pour l’histoire de notre établissement. Composée d’une multitude de documents sur des supports très différents, sa conservation est compliquée, d’autant plus que les supports (cahier de papier, planche, calques…) et techniques (encre, aquarelle, crayons…) employés ne présentent pas les mêmes besoins de conservation.

La numérisation des journaux de voyage a débuté depuis 2014 en partenariat avec la Bibliothèque nationale de France (BnF). Seuls 200 travaux ont été numérisés et peuvent être trouvés sur le site Patrimoine Mines Paris, rubrique Travaux d’élèves ou sur Gallica.

Aujourd’hui, la bibliothèque souhaite accélérer ce projet et faire restaurer et numériser la collection des Journaux de voyage dans son intégralité.

A travers les Journaux de voyage : préserver et transmettre une mine de connaissances

Atelier de Domnarfvet (Suède, 1883) par Léon Janet (P 1881) trajet de Léon Janet pendant son voyage en Scandinavie en 1983

Continuer à communiquer ces sources inestimables sur l’histoire technique et industrielle malgré leur fragilité est une priorité du fonds patrimonial de la bibliothèque.

  • Assurer leur transmission aux générations futures d’élèves, forts d’un patrimoine et d’une histoire construits depuis plus de deux siècles
  • Amener les élèves à une réflexion sur ce qui a pu faire le succès ou l’échec d’innovations techniques observées par leurs prédécesseurs dans leur contexte d’exploitation, en les découvrant lors d’ateliers de recherche
  • Mettre en lumière le lien fort entre l’École et l’Industrie
  • Donner à un large public, interne et externe à l’École, la possibilité de consulter ces documents en ligne sur la bibliothèque numérique des Mines
  • Poursuivre leur étude par les spécialistes.

Galerie d’ingénieurs : se placer sous le parrainage des anciens en restaurant leurs travaux

Ancrée dans l’histoire et la tradition de l’Ecole, la collection des Journaux de voyage illustre parfaitement sa devise : Théorie et Pratique. Les enseignements reçus à l’École ne peuvent se passer de l’expérience sur le terrain.

Une longue lignée d’élèves-ingénieurs et d’élèves titulaires ont parcouru la France, l’Europe et même au-delà, les Etats-Unis et la Russie à la découverte des procédés techniques les plus novateurs, dont leurs rapports se faisaient le relais.

Parmi les auteurs de ces journaux, on compte des personnages importants pour l’histoire de l’École : Henri Hureau de Sénarmont, physicien et minéralogiste, professeur à Polytechnique et membre du conseil de perfectionnement de l’Ecole des mines ; Charles Galissard de Marignac, chimiste suisse, découvreur entre autres du Gadolinium; Louis Rivot, métallurgiste et professeur de docimasie à l’Ecole des mines, Henri Poincaré, mathématicien et philosophe des sciences.

Faire restaurer les journaux de ces hommes illustres, c’est rendre hommage à leur parcours et mettre en lumière l’excellence de la formation à l’Ecole des Mines de Paris partout où ils seront exposés.

En 2019 et 2020, trois journaux restaurés ont été présentés lors d’expositions à l’Ecole des Mines de Paris et au Musée des Beaux-Arts de Nevers.

Extraits de cahier d’élèves

Un tour de l’Europe industrielle et minière du XIXe siècle à travers les journaux numérisés

Faire numériser leurs journaux de voyage, c’est rendre accessible au plus grand nombre les parcours à travers l’Europe de ces pionniers qui ont parcouru parfois plusieurs milliers de kilomètres à l’étranger, sans connaître toujours la langue et avec les moyens de locomotion les plus divers de l’époque, quand le chemin de fer commençait tout juste à se développer. C’est refaire avec eux le chemin virtuel de leur apprentissage en faisant un bond dans le temps et l’espace.

Ces ensembles cohérents permettent de suivre sur plusieurs décennies l’évolution de certains sites industriels où se sont succédé les élèves.

Un volume de journaux de voyage avant restauration.

Journaux de voyage après leur restauration

Plus de projets Patrimoine ?

Des nouvelles chambres à la Maison des Mines !

Le 23 décembre 2020, un nouvel étage de la Maison des Mines a été inauguré. Antoine Battistelli, Président de la Maison des Mines a prononcé quelques mots devant un comité restreint (situation sanitaire oblige). Paul Duphil Président de Mines ParisTech Alumni, et Brigitte Durand, déléguée générale, se sont réjouis de cet agrandissement qui permet d’accueillir 10 étudiants, en liste d’attente. Ce sont en effet cinq chambres de deux qui ont été ajoutées aux deux-cents chambres existantes.

Le chantier a été dirigé par Jean-Marc Deram, architecte de la Maison des Mines. Le mobilier, en bois massif a été dessiné par Camille Deram et fabriqué en France. Située au dernier étage de la MdM, les chambres s’ouvrent sur une terrasse qui offre une vue panoramique exceptionnelle sur Paris. Chaque chambre a sa petite kitchenette, les salles de bain étant communes ; le choix de privilégier la cuisine dans la chambre plutôt que la salle de bain, résulte d’une concertation avec des étudiants.

Ces travaux ont également été l’occasion de prolonger l’ascenseur jusqu’au rez-de-chaussée du bâtiment, ce qui a résolu le problème du demi-étage qu’il fallait grimper avec ses bagages jusqu’à l’entresol de la « Meuh ».

Le ClassGift de la P19 est lancé !

Chaque année, à l’occasion de la traditionnelle Sainte-Barbe, le 4 décembre, Mines ParisTech Alumni organise avec la Fondation Mines ParisTech une rencontre pour les anciens élèves de l’Ecole. En cette année particulière, la soirée s’est déroulée en format webinaire, animée par Paul Duphil, Vincent Laflèche et Benoît Legait, avec la participation de Jacques Aschenbroich, PDG de Valeo et Jean-Pierre Clamadieu, Président du Conseil d’Administration d’ENGIE. Au cours de cette visioconférence les élèves de l’Ecole des Mines ont lancé officiellement le ClassGift P19. Plus de 250 personnes connectées pour l’occasion ont assisté à ce lancement et ont pu visionner la vidéo ci-dessous :

Le ClassGift est un cadeau de promotion. Cette année est l’année des promotions en 9. Six élèves de la P19 ont décidé de reprendre le grand projet du ClassGift P18 en y apportant leur touche personnelle. L’idée : créer le Carreau des Mines, une vitrine pour l’école, donnant sur le jardin avec un accès PMR. Cet espace doit être un lieu de rencontre pour les élèves, les chercheurs et les enseignants, un lieu de rassemblement et de partage. Charlotte, Pierre-Adrien, Arsène, Hadrien, Léopold et Ambroise, qui constituent l’équipe de ce nouveau ClassGift, peuvent compter sur le soutien de Carole Le Gall (P89) et Gilles Gantois (P79), pour encourager les promotions en *9 à soutenir ce projet de rénovation de l’école.

Pour en savoir plus sur la campagne, le projet et l’équipe, rendez-vous sur le site web : classgift-ensmp.fr

Musée de Minéralogie

Le soutien de la Fondation au patrimoine de l’École, ne concerne pas que la rénovation d’espaces, mais également l’entretien des collections muséographiques et archivistiques qui constituent l’héritage des élèves. Votre don peut être dédié à la restauration de documents, de livres anciens, mais aussi à la numérisation de registres et de documents pour pérenniser la mémoire des Mines.

Créés au XVIIIe siècle, le Musée de Minéralogie (ouvert au grand public toute l’année), la Bibliothèque de l’Hôtel Vendôme et son fonds ancien (ouverte lors des Journées européennes du patrimoine) sont au cœur du patrimoine de Mines Paris et participent à l’enrichissement du 60 boulevard Saint Michel.

Le Musée de Minéralogie

La composition des collections du Musée de Minéralogie a débuté à la fin du XVIIIe siècle et a été particulièrement enrichie au cours du XIXe siècle par des géologues et collectionneurs de renom. Face à l’accumulation de minéraux, météorites et gemmes, des travaux de réorganisation au XXe siècle ont été menés. Aujourd’hui toutes les pierres sont conservées au 60 boulevard Saint Michel, à la vue des visiteurs (ou non). Ces trésors nécessitent une grande attention et le Musée ne peut leur rendre justice qu’en bénéficiant d’un équipement à la hauteur. En 2019, la Fondation a par exemple contribué à l’achat de rampes d’éclairage LED, permettant de mettre en valeur tout en préservant les pierres. Elle accompagne aussi le Musée au quotidien dans l’entretien des collections et la rénovation des vitrines.

En soutenant le patrimoine, vous contribuez à la préservation de ce musée au sein de l’École des Mines de Paris.

Plus de projets Patrimoine ?

Qui adoptera la dernière imprimante 3D ?

L’opération « Adopte une machine » de l’Atelier offre à chacun l’opportunité de parrainer un outillage, un équipement ou une machine. Ces outils pédagogiques s’inscrivent dans la formation scientifique des étudiants de MINES ParisTech, tous cycles confondus.

« La pratique est complémentaire de la théorie et permet d’une part de mieux la comprendre, d’autre part de mieux savoir l’appliquer dans le futur » Léo Chabert, Ingénieur civil, P17.

En 2019, deux imprimantes 3D sur trois ont été parrainées grâce à l’engagement de nos donateurs ! La troisième imprimante 3D n’attend plus que vous !

A quoi va servir mon don ?
Parrainer une machine, comme une imprimante 3D, c’est contribuer directement à la qualité de l’enseignement de MINES ParisTech et permettre aux élèves d’avoir facilement accès à du matériel moderne pour mener à bien les projets demandés au cours de leur scolarité.
L’imprimante 3D sert aux cours de mécanique pour une application particulière, comme fabriquer un bras de drone par exemple ; aux projets de mécatronique ; au cours de mécanique des fluides (construction de petits avions ou de casques de vélos miniatures pour tester l’aérodynamique). Elles sont utilisées par tous les élèves qui font des concours de type robotique et par les doctorants.

Mon don est-il compatible avec mes déclarations fiscales ?
Oui ! Grâce à une fiscalité avantageuse, vous pouvez devenir acteur de projets innovants et donner votre nom à un équipement de l’Atelier comme l’imprimante 3D.
Je parraine une imprimante 3D à 5 000€, mon don me revient à 1 700 € après déduction de l’impôt sur le revenu (IR) ou à 1 250 € après déduction de l’impôt sur la fortune immobilière (IFI).

►En savoir plus

Aidez les étudiants et gravez votre nom au cœur de l’Atelier de l’École !

Adopter une imprimante 3D

La Fondation s’engage pour les étudiants

La Fondation a acheté en 2018 un nouvel appartement rattaché à la Maison des Mines qui permet de loger 10 mineurs supplémentaires ! Proche de l’École, il répond au nouveau besoin de logement, engendré par la croissance des promotions.
Ainsi, ce sont plus de 250 mineurs qui seront désormais logés chaque année à la Maison des Mines !

À destination des élèves étrangers et habitant hors de Paris, la Maison des Mines propose un ensemble d’équipements modernes facilitant la vie des étudiants : bibliothèque, cantine, salle de musculation, espace détente, … Tant d’aménagements accessibles à l’ensemble des habitants, faisant de la Maison des Mines un passage attendu des futurs mineurs.

Mais, si la Fondation met tout en œuvre pour augmenter le nombre de places à disposition des étudiants, le résultat n’est pas encore suffisant. La Fondation, avec l’engagement de ses donateurs, doit maintenir ses efforts afin de répondre aux besoins de l’École et de ses élèves.
Aussi, si vous souhaitez soutenir le développement de la Maison des Mines, il est possible de vous engager avec la Fondation à travers un don, une donation ou encore à plus long terme, un legs (ou un legs d’appartement parisien).

Faire un don


Connaissez-vous l’origine de la construction de la Maison des Mines ?

En janvier 1929, lors d’une réunion d’anciens élèves de l’École des Mines de Paris, les problématiques de logement qui peuvent affecter les étudiants venus étudier à Paris sont mises en exergue. Dans ce même temps, l’élargissement de la rue Saint-Jacques est décidé par la Ville de Paris et nécessite la démolition de certaines maisons. Cela rend alors possible la création d’un lieu d’habitation pour les mineurs. La Maison des Mines et des Ponts et Chaussées voit ainsi le jour en 1933 sous l’impulsion de MINES ParisTech et de ses anciens élèves !

À l’origine, la résidence prévoyait 110 chambres, dont 80 pour élèves de l’École des Mines, 20 pour ceux des Ponts et Chaussées, et le surplus pour les élèves du Génie maritime et des Poudres.

En 1962, la Maison des Mines s’agrandit en réponse à l’augmentation des demandes et construit un deuxième bâtiment rue Pierre Nicole.

Aujourd’hui la Maison des Mines et des Ponts et Chaussées est accessible aux élèves venant des Mines de Paris, des Ponts et Chaussées et de l’ENSTA et propose un total 390 places !
Nombreux sont les mineurs étant passés par la Maison des Mines au fil des décennies, faisant de ce lieu chargé d’histoire un rite de passage.

Et vous, quels sont vos souvenirs ?

Mettre son patrimoine au service de l’École des Mines

En 2019, grâce à Raoul Charreton (P44), la Fondation Mines ParisTech a reçu son premier legs significatif. À cette occasion, la Fondation revient pour vous sur les différentes formes de legs qui existent.

Le saviez-vous ?
La Fondation Mines ParisTech, reconnue d’utilité publique depuis 1947, est habilitée à recevoir des legs et autres libéralités en franchise de droits de succession.
Faire un legs à la Fondation Mines ParisTech, quel que soit le montant, c’est s’assurer de faire perdurer sa mémoire à travers nos valeurs communes.

Que puis-je transmettre ?
Par un legs, vous transmettez tout ou une partie de votre patrimoine au profit de la Fondation en le stipulant dans votre testament (nous vous conseillons pour cela d’aborder le sujet avec votre notaire). Plusieurs possibilités s’offrent à vous afin d’exprimer au mieux vos volontés :
Le legs universel : en faisant un legs universel au profit de la Fondation Mines ParisTech, vous décidez de nous transmettre l’intégralité de votre succession. Vos héritiers touchent leur part en priorité, dite « la réserve héréditaire ».
Le legs à titre particulier: cette disposition permet à la Fondation de recevoir un ou plusieurs biens précis, déterminés au préalable par le testateur. Par exemple, grâce à un legs de 23 400 €, vous financez 3 ans de bourse pour un étudiant ingénieur civil ; en léguant un appartement parisien, vous logez jusqu’à 10 élèves près de l’École.

Vous souhaitez en savoir plus sur les libéralités ?
Nous mettons à votre disposition, sur simple demande, notre brochure legs et donations.

nous contacter

Vous avez des questions relatives aux libéralités?
Vous pouvez contacter notre expert en fiscalité et Délégué général de la Fondation :
Antoine Battistelli – antoine.battistelli[a]mines-paristech.fr – 01.40.51.90.21

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