Étudiants

Bourse de vie : témoignage d’Abdallah Melhem (ICiv P22)

Peux-tu te présenter ? Pourquoi as-tu choisi de rejoindre Mines Paris – PSL ?
Je m’appelle Abdallah Melhem, je suis libanais et étudiant en troisième année à Mines Paris – PSL. En parallèle, je poursuis un M2 Apprentissage & Algorithmes (M2A) sur le machine learning à Sorbonne Université.

La France, j’en ai toujours rêvé. Depuis tout petit, j’adorais sa culture, son histoire… Et puis, je savais que c’était le pays de la science et de la recherche. Alors, dans ma tête, c’était clair : un jour, j’irai apprendre et grandir ici.

Déjà pendant mes études au Liban, je savais que je voulais intégrer l’une des meilleures écoles d’ingénieurs françaises. Pour moi, Mines Paris – PSL est l’une des meilleures, si ce n’est la meilleure, école d’ingénieurs en France. Ce rêve m’a motivé, et j’ai travaillé sans relâche pour gagner ma place ici. Aujourd’hui, je suis fier d’étudier dans cette prestigieuse institution et de voir enfin se concrétiser l’objectif que je m’étais fixé il y a des années.

Une fois que tu auras ton diplôme, que souhaites-tu faire ?
Après mon diplôme, j’aimerais devenir ingénieur en machine learning. C’est un domaine qui me passionne parce que j’ai toujours adoré les maths et les stats, et bosser là-dedans, c’est un peu comme mélanger mes passions avec mon quotidien. Mon rêve ? Contribuer à faire avancer ce secteur, même un tout petit peu… et rester connecté à ces chiffres et équations qui m’ont toujours passionnés !

Comment as-tu entendu parler des bourses et de la Fondation ?
J’ai entendu parler des bourses grâce aux ex-Mineurs qui m’en ont parlé avant de passer le concours, pendant ma préparation.

Peux-tu préciser les aides que tu as reçues ? En quoi ont-elles changé ton quotidien ou ta manière d’aborder tes études ?
Sans cette bourse, je vous le dis franchement : je ne serais pas là. Mon père, chauffeur de taxi au Liban, gagne à peine de quoi vivre au quotidien. Même en économisant pendant des années, nous n’aurions jamais pu réunir l’argent nécessaire pour les frais d’études, le logement, la vie ici…

La Fondation Mines Paris a rendu ce rêve réel. Pas juste en enlevant du stress, non : en effaçant un mur infranchissable. 

Cartel Paris 2025 – Rassembler les Écoles des Mines…

Le sport occupe une place essentielle dans la vie étudiante de Mines Paris – PSL. Parmi les événements les plus emblématiques, le Cartel des Mines s’impose comme un moment phare, rassemblant environ 1900 étudiants autour de compétitions sportives.

Un événement sportif et fédérateur

Le Cartel des Mines, qui se tiendra du 24 au 27 avril 2025, est un tournoi sportif inter-écoles réunissant près de 1900 étudiants issus de 13 écoles d’ingénieurs. Il est organisé à tour de rôle par 7 écoles d’ingénieurs d’une année sur l’autre : Mines Paris – PSL, Mines Saint-Etienne, Mines Nancy, IMT Nord-Europe, IMT Atlantique, IMT Mines d’Albi, IMT Mines d’Alès. Cette année, l’organisation de cette édition revient aux étudiants de Mines Paris – PSL.

Au programme : quatre jours de compétitions intensives, des épreuves variées comme la natation, le relais 10x100m, le cross, les épreuves handisports mais aussi le show pom-pom ou encore des moments de partage et de festivités. Parmi les temps forts : la cérémonie d’ouverture, les soirées, les activités de cohésion et les chants de supporters.

“L’objectif est de rassembler et de fédérer les élèves venant de toute la France autour du sport et de ses valeurs. Cela permet de créer des liens entre les différentes écoles et d’insister sur des enjeux essentiels comme l’esprit d’équipe, le respect et l’éco-responsabilité.”

Aymeric Papon, Président du comité d’organisation du Cartel Paris 2025.

Une organisation rigoureuse et engagée

Derrière cet événement d’envergure, l’organisation demande un travail de longue haleine. Depuis décembre 2023, une équipe d’étudiants de Mines Paris – PSL œuvre sans relâche pour proposer une édition mémorable. “Ce rôle de président s’annonçait challengeant, stimulant et prenant et je n’ai pas été déçu jusqu’ici. ” confie Aymeric Papon, Président du comité d’organisation du Cartel Paris 2025. Mais le Cartel ne se limite pas à la compétition. L’événement met également en avant des valeurs essentielles telles que l’éco-responsabilité et la lutte contre les violences sexistes et sexuelles. Des mesures concrètes sont mises en place, notamment :
  • Transport en train privilégié pour réduire l’empreinte carbone.
  • Un repas végétarien sur deux et des solutions écoresponsables pour la restauration.
  • Sensibilisation et prévention pour assurer un environnement bienveillant et respectueux à tous les participants.

Un soutien précieux de la Fondation Mines Paris

L’organisation d’un tel événement nécessite également un accompagnement financier et logistique. La Fondation Mines Paris joue un rôle clé en facilitant les contacts avec les institutions et entreprises partenaires.

“La Fondation Mines Paris nous a accompagné de différentes manières dans le développement de notre projet. Nous avons pu obtenir des contacts à la mairie et auprès d’entreprises. Elle nous apporte également un soutien financier généreux.” souligne Aymeric Papon.

Bourse de Vie : Témoignage de Léa Mouawad

Peux-tu te présenter ? Pourquoi as-tu choisi de rejoindre Mines Paris – PSL ?
Je m’appelle Léa et je suis actuellement en troisième année du cycle ingénieur civil à l’École des Mines de Paris. J’ai intégré l’école l’année dernière, en deuxième année, dans le cadre de mon programme de double diplôme avec l’Université Libanaise, où j’étais spécialisée en génie mécanique. J’ai choisi Mines Paris car je trouve que c’est le choix idéal pour poursuivre ma carrière, vu qu’elle offre une formation pluridisciplinaire qui permet à ses étudiants ingénieurs d’obtenir une perspective globale sur les enjeux techniques et stratégiques. J’ai également apprécié la richesse de la vie associative et la taille humaine des promotions, qui facilitent une relation de proximité avec les professeurs et entre étudiants !

Une fois que tu auras ton diplôme, que souhaites-tu faire ?
Une fois diplômée, je souhaite travailler dans la gestion de projets au sein de grands groupes industriels. Je suis attirée par des rôles où je peux coordonner différentes équipes et apporter des solutions concrètes à des défis techniques et organisationnels.

Comment as-tu entendu parler des bourses et de la Fondation ?
J’ai découvert la Fondation Mines Paris pour la première fois dans ma lettre d’admission, où il était précisé que les élèves internationaux pouvaient bénéficier d’une bourse. Cette information m’a agréablement surprise et impressionnée, car je ne m’attendais pas à recevoir un soutien financier aussi significatif pour poursuivre mon parcours.

Peux-tu préciser les aides que tu as reçues ? En quoi ont-elles changé ton quotidien ou ta manière d’aborder tes études ?
En tant que boursière de la Fondation Mines Paris, j’ai reçu une aide mensuelle de 700 euros pendant huit mois en deuxième année, et je continue de recevoir cette aide durant mes six mois d’études en troisième année.
Cette aide a été précieuse pour mon parcours académique car elle m’a permis de ne pas m’inquiéter des aspects financiers et de me concentrer pleinement sur mes études et mon séjour en France. De plus, le montant reçu est assez suffisant pour couvrir les besoins essentiels d’un étudiant chaque mois !

Convention scientifique étudiante sur l’hydrogène

Fin 2023, la Fondation Mines Paris a soutenu la Convention scientifique étudiante sur l’hydrogène, qui a réuni 50 élèves ingénieurs de toute la France, de novembre 2023 à mars 2024, pour débattre des usages de l’hydrogène. Le projet, organisé autour de séminaires pendant quatre week-ends, a alterné formations par des experts et débats en groupes sur les applications de l’hydrogène (transport, industrie, etc.). La genèse de ce projet est née au sein de l’association Ingénieurs et Scientifiques de France (IESF) dès 2022. Porté par le Comité Jeunes Promotions, le projet est officiellement lancé en juin 2023, les participants sélectionnés en octobre 2023 et les rencontres des groupes de travail échelonnées de novembre 2023 à mars 2024. Lors de la cérémonie de clôture à Bercy, un rapport a été remis au Ministère de l’Industrie, comprenant une trentaine de recommandations sur les usages actuels et futurs de l’hydrogène, s’appuyant sur les travaux des 50 participants pendant la Convention et auquel de nombreux élèves de Mines Paris – PSL ont contribué.

Depuis avril 2024, les conclusions du rapport ont été présentées sur France Inter et Sud Radio, ainsi que dans diverses conférences, l’objectif étant de maximiser la diffusion du rapport et de ses recommandations jusqu’à la fin de l’année 2024. La Convention scientifique étudiante sur l’hydrogène
était co-organisé par Amaury Fievez (ISUPFERE 18)

Amaury Fievez, ISUPFERE 18

« Du fait de mon parcours à Mines Paris – PSL, contacter la Fondation Mines Paris me paraissait naturel et en lien avec ses engagements pour la transition décarbonée.
Par ailleurs, Mines Paris – PSL a joué un rôle important, car c’était l’école la plus représentée parmi les participants et elle a accepté d’accueillir la cérémonie d’ouverture de la Convention. Grâce à la participation de la Fondation, nous avons pu mener à bien ce projet, et nous vous remercions chaleureusement.
»

Témoignage d’élève : Christelle de Boutray (ICiv 24)

Témoignage Christelle de Boutray

Pouvez-vous vous présenter et revenir sur votre parcours avant Mines Paris – PSL ?
Je m’appelle Christelle de Boutray et je suis actuellement en première année à Mines Paris – PSL, que j’ai intégrée après une classe préparatoire en filière PC au lycée Lakanal, à Sceaux.

Pourquoi avoir choisi de rejoindre Mines Paris – PSL ?
J’ai choisi d’intégrer Mines Paris – PSL pour son excellence académique et son approche généraliste. J’ai également été attirée par la taille réduite des promotions, qui permet un cursus plus personnalisé, en phase avec les aspirations de chaque élève.

Savez-vous ce que vous voulez faire pendant votre parcours à l’École ?
Je n’ai pas encore d’idée très précise de ce que je souhaite faire au cours de mon parcours à l’École. C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles j’ai privilégié une école généraliste. Je compte profiter des cours variés de la première année pour mieux définir mes centres d’intérêt et, qui sait, en découvrir de nouveaux. J’ai néanmoins un intérêt particulier pour la physique et les questions liées à l’énergie.

Une fois que vous aurez obtenu votre diplôme, que souhaitez-vous faire ?
Après l’obtention de mon diplôme, j’envisage de travailler dans le domaine de l’énergie, même si je reste ouverte à d’autres secteurs et opportunités.

Au moment des concours, quels ont été vos critères de choix pour l’École ? La possibilité d’être logée à la Maison des Mines a-t-elle compté ?
Lors des concours, mes principaux critères étaient de rejoindre une école généraliste offrant un haut niveau scientifique. La possibilité d’être logée à la Maison des Mines a effectivement joué un rôle dans mon choix, car je voyais cela comme une opportunité de renforcer la cohésion entre élèves et de participer activement à la vie associative. Le coût modéré du logement a également été un facteur déterminant.

Bienvenue à la promotion P24 !

La promotion d’Ingénieurs civils P24 vient d’intégrer Mines Paris – PSL et fait désormais partie de la grande famille des Mineurs. Cette année, 692 élèves Ingénieurs civils sont inscrits en 1ère, 2ème et 3ème année, ainsi qu’en césure.

Retrouvez quelques chiffres sur la rentrée 2024 !

La première année : 150 élèves

MP : prépa Maths-Physique
PC : prépa Physique-Chimie
PSI : prépa Physique-Sciences de l’Ingénieur
PT : prépa Physique-Technologie
MPI : prépa Maths-Physique-Informatique
BCPST : prépa Biologie-Chimie-Physique-Sciences de la Terre
TSI : prépa Technologie-Sciences de l’Industrie
ATS : prépa Adaptation Technicien Supérieur
Villebon Charpak : licence généraliste Sciences et Technologies
PSL : Paris Sciences & Lettres. Elèves issus du Cycle Pluridisciplinaire d’Études Supérieures et de la Licence Sciences pour un Monde Durable
AST : Admis Sur Titre

La deuxième année : 167 élèves

La troisième année : 222 élèves

Les projets décarbonés de nos étudiants, soutenus en 2023-24

We Slow Tech

Étudiants du cycle ingénieur civil de l’École des Mines en césure, Antoine Preneux et Théobald Dubreuil (ICiv 21) sont partis pour 5 mois découvrir des initiatives low-tech européennes inspirantes pour la transition environnementale, le tout en vélo. La low-tech est un mouvement d’innovation qui se propose de questionner en premiers lieux l’utilité, la durabilité et l’accessibilité des objets (savoir-faire, mode de vie, technique …) et qui apporte un nouveau panel de solutions pour la transition environnementale, enjeu clé à Mines Paris.

Ce projet répond au besoin des deux étudiants d’aller à la rencontre de projets inspirants, pour comprendre, en pratique, comment la low-tech est utilisée, et tenter de déterminer la juste place de ce mouvement dans les solutions de transition. Armés de leur esprit critique et soutenus par la Fondation Mines Paris, Antoine et Théobald irons à la rencontre de restaurants solaires, d’éco-villages, de nouvelles formes d’entreprises et apprendrons à réaliser un concentrateur solaire. Pour donner envie à d’autres de s’engager pour la transition écologique et solidaire, ils réaliseront, à l’issue de leur périple, un documentaire donnant la parole aux projets les plus prometteurs qui auront croisés leur chemin.

Trondheim pour la Semaine Athens

Mines Paris fait partie du réseau Athens, permettant aux étudiants d’effectuer une semaine d’échange dans une école partenaire en Europe deux fois par an. Dans ce cadre, Robin Nizou (ICiv 21) est part à Trondheim en Norvège en train, pour montrer qu’il est possible « d’effectuer de véritables aventures à un bas budget carbone ». Pour lui, ce projet est aussi l’occasion d’effectuer un voyage unique au cours duquel, il est amené à rencontre des personnes d’horizons différents en faisant du couchsurfing. Son engagement pour la transition écologique le motive à faire de son expérience un exemple pour montrer aux élèves qu’il est possible, en s’organisant bien, d’effectuer de véritables aventures à un bas budget carbone et dans le cadre de notre scolarité.

Vous pouvez découvrir son voyage et ses expériences à travers une vidéo ou en suivant son parcours sur Polarstep.

La Bici de Pachamama par Agathe et Philippine

La Bici de Pachamama est de retour en France ! Après avoir pédalé 6700 km de La Paz à Ushuaia pendant 6 mois, nous avons à cœur de partager notre récit et notre future fresque de l’agroécologie autour de nous. En effet, notre objectif est de construire une carte visuelle et ludique qui démocratise les causes et conséquences de l’agroécologie, et cela accessible à tous.
Pendant notre aventure, nous avions mis en place un “compteur à impact”, où tous les 2km parcourus, 1€ est reversé à un projet qui soutient la transition agroécologique en France. Nous sommes actuellement en cours de sélection de ce projet, et allons bientôt annoncer le projet soutenu.
Les prochaines étapes de la Bici sont donc de valoriser toutes les connaissances recueillies et de les partager autour de nous.

Wander, une start-up créée par un Ingénieur civil P20

Wander est une application sociale qui agrège l’offre événementielle et reconnecte ses utilisateurs à la culture en leur permettant de trouver le bon événement en moins de 2 minutes et au meilleur prix grâce à son IA de recommandation et son comparateur de prix.

Amorcé en octobre 2022, le projet est officiellement lancé en décembre 2023 avec pour mission de reconnecter les habitants à l’offre culturelle locale en leur facilitant la découverte d’événements.
Au printemps 2024, 15 partenariats rémunérés et 16 autres sources d’information permettent à Wander d’agréger automatiquement une offre de plus de 25k événements par mois. L’application permet alors de trouver le bon événement au meilleur prix grâce à :

  • un algorithme de recommandation fondé sur des modèles de deep learning,
  • un système de recherche avancé unique (filtres, map, flux …),
  • un comparateur de prix rendu possible grâce à des algorithmes de traitement des données,
  • un réseau social qui permet des recommandations croisées entre utilisateurs.

Wander s’inscrit dans le marché européen de la promotion d’événements, estimé à 11,5Md€ en 2022 avec un taux de croissance annuel de 4,5%. Celui-ci est un segment du marché européen de l’événementiel, estimé à 115Md€ en 2022.

Nos utilisateurs sont principalement de jeunes actifs intéressés par des expositions, des spectacles et des concerts. Via l’application, ils peuvent accéder aux billetteries des événements ou acheter leurs places directement dans Wander.

Plusieurs types de concurrents ont été identifiés mais ne se présentent pas comme des concurrents directs car ce sont des acteurs faisant la promotion d’événements et non des billetteries.
L’équipe dirigeante se compose d’Arthur Morillon (Président), Maxence Morillon (Directeur Technique), Nil Parent (Directeur Général) et Benjamin Morillon (Directeur Financier) avec une perspective de développement lié aux levées de fonds attendues courant 2024 et qui permettrait en octobre 2024 de bénéficier d’un financement de 650 000 €.

Maxence Morillon : Pourquoi j’entreprends

J’ai pris la décision d’entreprendre pour diverses raisons. Tout d’abord, le défi personnel qu’il représente est primordial pour moi. La possibilité de réussir, tout comme celle d’échouer, et d’assumer la responsabilité de l’une ou l’autre issue me pousse à sortir de ma zone de confort. Le choix de ce projet en particulier vient du désir partagé avec mes cofondateurs d’avoir un réel impact sur notre société. Nous voulons permettre à chacun d’accéder facilement et rapidement à l’offre culturelle disponible autour d’eux.

Témoignage d’Ali Janbein, doctorant au Centre de Géosciences de…

Pouvez-vous vous présenter ?
Je suis Ali Janbein, en deuxième année de thèse en géophysique à l’École des Mines de Paris, Centre de Géosciences. Je suis Libanais et j’ai obtenu mon diplôme en génie civil à l’Université Libanaise. Par la suite, j’ai poursuivi mes études en obtenant un master en structure et mécanique des sols à l’Université Saint-Joseph, École supérieure d’ingénieur de Beyrouth.

Ma thèse est en codirection entre Mines Paris – PSL en France et le Centre National de Géophysique au Liban. Ma bourse de thèse, co-financée par l’ambassade de France au Liban et le Conseil National de la Recherche Scientifique au Liban, couvre 6 mois de séjour en France par année.

Pourquoi avez-vous choisi de faire une partie de votre doctorat à Mines Paris – PSL ?
J’ai choisi de faire mon doctorat à Mines Paris – PSL en raison de sa réputation mondiale en tant qu’institution d’enseignement supérieur de premier plan dans le domaine des sciences et de l’ingénierie. L’excellence académique et la renommée des chercheurs au sein de Mines Paris – PSL ont été des facteurs déterminants dans ma décision.

Sur quoi portent vos travaux ?
Mon projet de recherche vise à utiliser la base de données sismologiques existante du Liban afin d’imager la structure sous-sol avec une haute résolution et de localiser avec précision la sismicité dans cette zone. Une étude sera menée ultérieurement pour évaluer l’impact de l’activité sismique au Liban sur les endommagements des bâtiments de Beyrouth.

Comment avez-vous entendu parler des bourses et de la Fondation ?
J’ai pris connaissance des bourses offertes par la Fondation Mines Paris grâce à une annonce “BOURSES ET AIDES À LA MOBILITE À L’INTERNATIONAL” où la Fondation Mines Paris est mentionnée parmi les organismes offrant ces bourses.

Pouvez-vous préciser les aides que vous avez reçues ?
Je suis heureux d’avoir bénéficié d’une bourse de 1500€ de la Fondation Mines Paris pour l’année universitaire 2023-2024.
Cette bourse me permet de rester un mois supplémentaire en France. Cette opportunité est une aide précieuse pour mes études, car elle me donne l’occasion de travailler de près avec ma directrice de thèse en France.
Je tiens à exprimer ma profonde gratitude à la Fondation Mines Paris pour son engagement en faveur de l’éducation et de l’excellence académique. Son impact sur la vie des étudiants est incommensurable.