S’engager pour la transition avec Mines Paris – PSL

Depuis sa création en 1783, Mines Paris – PSL investit les champs d’action correspondant aux grandes questions techniques et économiques de son temps. Conjuguer ambition académique pluridisciplinaire et proximité avec les entreprises est également une des forces de l’École.

Face au défi de l’urgence climatique décrite rapport après rapport par le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), elle développe une vision d’ensemble fondée sur des expertises scientifiques sans cesse confrontées aux réalités industrielles, économiques et sociales, afin d’appréhender avec pertinence les enjeux d’une transition d’une nature et d’une ampleur inédites.

La Fondation Mines Paris, sous l’impulsion de son Comité de Campagne, a ouvert un axe dédié au Développement Durable dans le cadre de sa troisième campagne de levée de fonds 2021-2026.

Découvrez les projets de l'axe Développement Durable

  • La rédaction du livret Mines in Transition en 2021

    Le livret Mines in Transition présente l’éventail des activités de Mines Paris - PSL ayant trait à la transition imposée par l’urgence climatique.

  • The Transition Institute 1.5

    Dédié aux défis de la transition bas-carbone, The Transition Institute 1.5° (TTI.5) affiche haut et fort ses ambitions dans son nom : 1.5° fait écho à l’objectif d’élévation maximal de la température moyenne du globe par rapport à la période préindustrielle (1850-1900) prôné par le GIEC.

  • Entrepreneuriat et Développement Durable

    Dans le cadre des cours d’Entrepreneuriat et motivés par les expériences vécues pendant leurs études, certains Ingénieurs civils ont développé des startups tournées vers le Développement Durable.

  • Mines Paris pour l’Océan

    Mines Paris pour l'océan est un projet aux facettes multiples, permettant aux élèves de découvrir et de se sensibiliser à l'ingénierie bleue.

  • Cartographie des outils d’aide à la mise en œuvre des ODD

    Philippe Lefebvre, enseignant-chercheur à Mines Paris, se pose la question : Comment expliquer, cinq ans après l’accueil très favorable des entreprises à la signature des Objectifs de Développement Durable 2030 à l’ONU, que les actions engagées par ces mêmes entreprises soient si loin des annonces initiales ?