Étudiants

MINES ParisTech dans le Top 15 !

Quelles sont les universités les plus innovantes ?

Cet été le journal britannique Times Higher Education (THE) a décidé de mettre un coup de projecteur sur les “innovations et inventions au sein du monde universitaire”.

Les partenariats université-industrie s’intensifient, relève le THE. Les institutions d’enseignement supérieur du monde entier cherchent à améliorer leur recherche, à trouver de nouvelles applications pour leurs découvertes et de nouvelles sources de revenus.
Par ailleurs, l’impact de ces innovations et inventions sur l’économie et la société en général n’a jamais été aussi important.
D’où l’idée de créer un nouveau classement. Son objectif ? Classer les établissements d’enseignement supérieur et de recherche selon 4 critères de performance.

Les quatre indicateurs de l’innovation

  • 1- Pourcentage d’articles en co-signature avec des industriels (Industry collaboration)
  • 2 – Proportion d’articles cités dans des brevets (Patents citations)
  • 3 – Montant des ressources générées par la recherche avec l’industrie (Resources from industry)
  • 4 – Proportion des ressources générées par la recherche avec l’industrie (Industry contribution)

MINES ParisTech et Centrale Lyon sont les seuls établissements tricolores présents dans le ‘Top 15″ des champions mondiaux de l’innovation.

L’École des mines se distingue selon les indicateurs de publications avec l’industrie (critère 1) et de ressources (critère 4). Ces résultats valent à Damien Goetz directeur de la recherche, d’être largement cité par Ellie Bothwell, l’auteur de l’enquête.
Pour Damien Goetz, entre autres avantages, le partenariat avec l’industrie nous protège du risque d’avoir une recherche trop académique, trop éloignée de la vie réelle et des applications à inventer pour le futur.

À l’échelle mondiale, la Chine et les États-Unis sortent grands vainqueurs de cette nouvelle évaluation avec respectivement 10 et 9 établissements classés.

> Consulter l’enquête du THE (en anglais)

> MINES ParisTech dans les derniers classements

 

Former à l’interculturel – Rencontre avec Marc Lucas

A quoi ressemblera cette université d’été franco-chinoise?

L’université se déroulera autour du cas de l’usine modèle de Yichang, dans le centre de la Chine, amenée à devenir une référence mondiale en termes d’usine « zéro carbone ». Après une semaine en usine et deux semaines à l’Université de Pékin (université la mieux classée de Chine), il s’agira pour les étudiants de l’Ecole, préalablement sélectionnés, de répondre collectivement avec les étudiants chinois aux enjeux liés à la réduction des émissions de CO2 et des économies d’énergies.

En quoi cette expérience est-elle tout à fait inédite?

Tout d’abord, parce que jamais une telle université d’été n’a été mise en place à l’étranger par l’Ecole. Ensuite, parce qu’il s’agit d’un projet unique en Chine. Enfin, parce que nous permettons aux étudiants chinois de découvrir les pédagogies de l’Ecole des Mines et les perspectives d’emploi de nos entreprises. Toute l’originalité de l’expérience repose sur la composition des équipes de travail, également réparties entre français et chinois.

Pourquoi vous paraît-il indispensable de former à l’interculturel les futurs ingénieurs?

Rappelons une évidence : l’avenir des jeunes diplômés s’inscrit déjà dans un monde globalisé ! Et notre rôle en tant que grande école d’ingénieur est de former des leaders industriels responsables, qui sauront prendre conscience des écarts culturels et oseront s’y exposer. C’est une expérience exigeante et toujours sous-estimée.

L’objectif de cette expérience personnelle et professionnelle est donc double : participer à l’amélioration d’un modèle industriel éco-responsable mais surtout travailler en équipe multiculturelle.

Qu’est-ce qui a motivé la création de ce projet?

Je suis parti d’un constat : tous les présidents Asie-Pacifique et tous les manageurs de nos multinationales  me répètent que leur principale priorité est de répondre aux défis des écarts culturels, quel que soit le pays où leur entreprise est implantée. Et tous confirment qu’on ne peut y répondre que par une réelle ouverture d’esprit interculturel, qui devient (et c’est nouveau) une des compétences clé du savoir-être pour les recruteurs.

Oui, c’est difficile de construire et de gérer des projets ensemble et oui, les écarts culturels existent ! Mais nous avons beaucoup à apprendre des autres cultures, plutôt que de rester centrés sur nos propres schémas de pensée. Si au retour de ce voyage, les 12 élèves français que j’ai emmenés avec moi ont compris que c’est le respect mutuel  et l’écoute de l’autre qui feront d’eux de grands manageurs à l’étranger, j’aurais réussi mon pari ! C’est une des missions-clé pour l’Ecole.

> Plus d’informations sur les différents projets enseignement de la campagne de développement

des différents projets “enseignement” de la campagne de développement de MINES ParisTech – See more at: https://www.fondation.mines-paristech.fr/Soutenez-nos-projets/Former-les-futurs-leaders-industriels/#sthash.tjuSMnGz.dpuf

MINES ParisTech lance avec succès son ClassGift

27 413.00 €, c’est le montant du chèque remis le jeudi 28 mai par les élèves de la promotion 2013 à Romain Soubeyran, Directeur de MINES ParisTech et à Benoît Legait, Président de sa Fondation, lors d’une grande soirée de remerciement des donateurs qui a eu lieu dans les locaux historiques de l’Ecole.

Une soirée placée sous le signe de la solidarité intergénérationnelle

Alors que MINES ParisTech s’est engagée en 2014 dans sa 2ème campagne de développement, les élèves ont souhaité s’associer à la levée de fonds et soutenir les ambitions affichées par leur Ecole en lançant un ClassGift ou « don de promotion ».

Particularité de ce 1er ClassGift : les élèves ont invité les promotions anniversaires 2003 (P03), 1993 (P93), 1983 (P8), 1973 (P73), 1963 (P63) et 1943 (P43) à s’associer au projet afin de maximiser le montant des dons mais aussi et surtout dans le but de créer un lien fort entre générations et de rassembler « la famille des mineurs » autour des valeurs de solidarité et d’excellence chères à l’Ecole. Un appel auquel de nombreux anciens élèves ont répondu, comme Philippe Emsalem, Directeur associé d’Astalia (P83), le parrain d’honneur de cette première édition qui a été un véritable ambassadeur du projet auprès des camarades de sa promotion.

Mobilisation importante des élèves pour leur Ecole

Pour les élèves de la promotion 2013, le défi a été relevé avec succès puisque 70 % d’entre eux ont contribué au don de promotion, grâce à la créativité de l’équipe ClassGift et à l’implication des personnels de l’Ecole dont le directeur lui-même ! Un bel encouragement pour la promotion 2014 qui a déjà repris le flambeau et qui est bien déterminée à faire encore mieux l’année prochaine.

Plus d’informations :  http://www.classgift-ensmp.fr/

Pierre Laffitte, Sophia Antipolis et l’École des mines de…

La cérémonie d’anniversaire a été préparée, en secret, par la Fondation Sophia Antipolis, en partenariat avec le magazine Sophia Mag. Convié pour une « réunion de travail », dans les locaux de MINES ParisTech, Pierre Laffitte a été accueilli par une standing ovation. Dans l’amphi Mozart, ses amis de tous bords – chefs d’entreprises, artistes, directeurs de grandes écoles, professeurs, chercheurs et élus locaux – sont venus évoquer le passé et parler d’avenir. Impossible de retracer ici ses multiples engagements, une thèse n’y suffirait pas ! La célébration de ses 90 printemps a heureusement permis de remettre en lumière les innombrables facettes d’une personnalité visionnaire.
Sans lui, comment imaginer ce que serait MINES ParisTech aujourd’hui ?

Audace et vision

Polytechnicien, Pierre Laffitte intègre le corps des Mines, en 1947. En 1963, il est nommé sous-directeur de l’École des mines de Paris, puis directeur de 1974 à 1984. Il poursuivra alors une carrière de Sénateur, jusqu’en 2008.

Romain Soubeyran, actuel directeur de MINES ParisTech, était bien placé pour mesurer la valeur de son héritage. « Il y a un avant et un après Pierre Laffitte à l’École des Mines », a t-il souligné. Saluant le pionnier dans le développement d’une recherche partenariale avec les entreprises, le directeur de MINES ParisTech a retracé l’histoire de la transformation de l’École du 60, boulevard Saint-Michel, à Paris.
Dès 1967, installation à Évry dans les locaux de Snecma (aujourd’hui groupe Safran) qui donnera naissance au Centre des matériaux. Dans le même temps, création des centres de l’École à Fontainebleau. Et dans la foulée, « en 1969, Pierre, lance l’idée de la technopole de Sophia Antipolis dont l’École des mines sera parmi les premiers occupants. (…) Il fallait être audacieux, visionnaire même, pour lancer un tel projet, et remarquablement pragmatique et habile pour arriver à le concrétiser ».

Le modèle des mines de Paris

Dans un discours personnel, mais d’une grande portée générale, Armand Hatchuel, professeur co-responsable de la chaire Théorie et méthodes de la conception innovante, s’est fait le porte-parole de tous les membres de l’École.
« Dans la mémoire collective des Mines, dans sa culture profonde, celle qui se transmet de génération en génération, de professeur à élève, de chercheur confirmé à jeune chercheur, même les derniers arrivés entendent dire, apprennent et vérifient en pratique qu’il y a un “modèle des mines de Paris” ! Un modèle auquel ils s’attachent vite. Parce qu’il est fondé sur l’esprit scientifique bien sûr, mais surtout dans ce que cet esprit a de profondément humaniste ! Parce qu’il est fondé aussi sur l’innovation, sur la responsabilité et sur une véritable autonomie des équipes. (…)»
Sans se priver d’évoquer de savoureux souvenirs, le  concepteur de la théorie CK a, tenté d’analyser les raisons du succès des entreprises de Pierre Laffitte.
« La science mise au service du progrès collectif, la nécessité de traiter les phénomènes sociaux avec la plus grande rigueur, une approche profondément humaniste de la création sous toutes ses formes, un appel constant au devoir d’invention, une confiance sans faille dans la jeunesse…

Voilà cher Pierre, les potions magiques que tu nous as administrées, et dont nous ne cessons chaque jour de réinventer la recette ! »

Sophia Antipolis – L’utopie High Tech

Sophia Antipolis est non seulement la première technopole d’Europe, mais c’est aussi une pépinière d’entreprises qui produit la moitié de la richesse du département des Alpes Maritimes. « Créer la Florence du XXIe siècle », c’était l’ambition de Pierre Laffitte, Un pari osé en 1970,  à une époque où l’industrie lourde était reine…
Ce reportage est à découvrir sur la chaine Public Sénat.

> Pour revivre cet événement

Vous avez dit “collector”?

Extraits du discours de Pierre Laffitte, le 24 octobre 1984 :
« L’avenir est à ceux qui osent et réalisent. Il nous est donc ouvert ».
« Il m’apparaît qu’en 1984, l’École des mines est un des rares lieux où l’enthousiasme, l’adaptabilité et l’imagination sont au pouvoir. Et après des années d’effort, on commence à le savoir à l’extérieur».

> En savoir plus sur Pierre Laffitte

À lire, sur le site de nice-matin, un beau portrait, en forme d’interview, sous la plume de Florence Buades, «Pierre Laffitte : “je suis un anarchique»

Soirée des grands donateurs de la Fondation Mines ParisTech


Un nouveau "Mur des bienfaiteurs" sera dévoilé par Raoul Charreton, P44 et premier donateur Platine de la Fondation.
Stéphane Delacote, P88 et donateur Or, inaugurera l'Escalier Dufrénoy, en l'honneur du géologue Armand Petit-Dufrénoy (1792-1857), ancien directeur de l'École à qui l'on doit d'importants travaux d'extension au sein de l'Hôtel Vendôme.
Les élèves bénéficiaires d'aides de la Fondation seront également présents pour apporter leurs témoignages et remercier les donateurs.

Lieu : MINES ParisTech – 60, bd. St-Michel – Paris
Contact : Solenne Couraye du Parc

 

 

Lancement du classgift de la Promo14 au dîner annuel…

Retrouver ses camarades de promotion, échanger, rencontrer des anciens élèves de l’Ecole, partager un moment avec la grande famille des mineurs : autant de perspectives qui rassemblent chaque année de nombreux alumni de MINES ParisTech lors du traditionnel diner de Sainte Barbe, toutes générations et cursus confondus.

Cette année, le diner a eu lieu le jeudi 4 décembre, sous la coupole du Centre Etoile Saint-Honoré.

Dans une ambiance festive et conviviale, la soirée a été ponctuée par les interventions de :

  • François Lefebvre, président de MINES ParisTech Alumni, qui a notamment profité de l’occasion pour nous rappeler l’histoire de la Sainte Patronne des Mineurs ; il a également proposé un moment de recueillement en hommage à la mémoire de Luc Oursel, ingénieur civil des Mines promotion 1978, Corps des Mines promotion 1981 et membre du comité de campagne ;
  • Jacques Aschenbroich, directeur général de Valeo, président du Conseil d’Administration de MINES ParisTech et invité d’honneur de la soirée, qui a mis en parallèle le contexte économique auquel Valeo doit s’adapter et les défis qu’une école prestigieuse doit relever ;
  • Romain Soubeyran, directeur de MINES ParisTech, qui a évoqué les grandes orientations de l’Ecole et les valeurs auxquelles elle est fortement attachée, comme la solidarité et l’excellence, qui constituent le cœur de son identité ;
  • Robert Brunck, président de la campagne de développement, qui a interpellé les anciens élèves présents dans la salle sur le sens du terme « excellence » et a insisté sur l’importance de l’engagement de toute la communauté des alumni dans la campagne pour une Ecole « qui nous a à tous tant donné » ;
  • Baptiste Garcia Garcia-Rundstadler, président du BDE, qui a annoncé le lancement officiel du 1er class gift MINES ParisTech, signe fort de l’implication des élèves en faveur du développement de leur Ecole.

Vous pouvez retrouver tous les moments forts de la soirée en images en cliquant ici

Plus d’informations sur les évènements de Mines ParisTech Alumni ici et sur l’actualité de la Fondation ici

– See more at: https://www.fondation.mines-paristech.fr/Actualites/Diner-annuel-de-la-Sainte-Barbe/4#sthash.tjNb4iRa.dpuf

Les alumni, toutes promotions et tous diplômes confondus, ont pu profiter il y a une semaine

  • d’une visite privée du Musée ;
  • d’un cocktail avec accompagnement jazz au piano en présence d’élèves de dernière année ;
  • puis au dîner du témoignage passionnant des deux invités d’honneurs : Franck Le Ouay et Romain Niccoli, deux anciens élèves (P97) co-créateurs de la société Criteo, fleuron des nouvelles technologies françaises.

Dans cette ambiance très conviviale, la soirée a été ponctuée par les interventions de Marc Mortureux, le nouveau président de MINES ParisTech Alumni ; de Romain Soubeyran, directeur de MINES ParisTech ; de Robert Brunck, président de la campagne de développement ; et pour conclure de Michel Nocture, président du BDE , qui a annoncé le lancement officiel du 2eme class gift MINES ParisTech, créant ainsi une nouvelle tradition à l’Ecole et confirmant l’implication des élèves en faveur de la campagne de développement.

Vous pouvez retrouver tous les moments forts de la soirée et les photos de chaque table en cliquant ici

 

Top départ pour le 1er class gift MINES ParisTech…

« Quoi de plus beau que de donner en retour à cette école qui nous donne déjà tant ? »  S’adressant aux anciens élèves de l’École des Mines réunis pour la Sainte Barbe, c’est en ces termes que Baptiste Garcia-Rundstadler, élève de la promotion 2013 et président du BDE, a annoncé le lancement du class gift de sa promo.

Rassembler la famille des mineurs

Ce 1er class gift sera l’occasion pour la promotion 2013 de faire un don à l’École. Mais aussi, et surtout, il invitera les promotions anniversaires P03, P93, P83… P43 à conjuguer leurs efforts afin de financer jusqu’à cinq bourses d’études. Une belle initiative visant à rassembler « la famille des mineurs » autour des valeurs de solidarité et d’excellence chères à l’École ! Et qui s’inscrit dans le contexte de la campagne de développement de l’École, lancée en juin 2014.

La levée de fonds se clôturera le 28 mai 2015 par une grande soirée de remerciement des donateurs. D’ici là, découvrez:

  • l’actualité du class gift
  • l’ensemble de l’équipe
  • des témoignages
  • des photos inédites des promotions marraines… sur le site internet du class gift : http://www.classgift-ensmp.fr/ , dévoilé lors de cette même soirée de Sainte Barbe. Rendez-vous sur ce site pour faire un don en ligne dès maintenant !

 

Le discours de Baptiste Garcia-Rundstadler en intégralité

 

Le 1er class gift MINES ParisTech

En juin dernier, MINES ParisTech donnait le coup d’envoi de sa deuxième campagne de développement (2014-2018). Un groupe d’élèves ingénieurs civils a souhaité s’associer à la levée de fonds et soutenir les ambitions affichées par l’École. Comment ?  En lançant un class gift.

Qu’est-ce qu’un class gift ?

Un class gift  ou « don de promotion » est une pratique bien ancrée aujourd’hui dans toutes les universités anglo-saxonnes (Harvard, Yale, Oxford…) et qui se développe dans la plupart des grandes écoles et universités françaises (ESSEC, ESCP, Université Paris-Dauphine…).

Cette année, épaulés par les équipes de la Fondation et du mécénat École, les élèves de la promotion 2013 (la P13) feront un don collectif à l’École pour financer un projet, choisi par eux parmi les objectifs prioritaires de la campagne de développement. Les alumni des promotions anniversaires (2003, 1993…) seront invités à y participer.

Objectif : entraide et solidarité

Cette initiative, nouvelle au sein de l’École, a été lancée par le BDE (Bureau des élèves), mardi 9 septembre 2014, auprès de leurs camarades de 2e année, le jour même de leur rentrée.
Favoriser la solidarité intergénérationnelle. Rassembler étudiants et alumni autour d’un projet commun d’entraide, en finançant des bourses d’études, attribuées dans le cadre des programmes « égalité des chances » et d’internationalisation des profils… Tels sont les premiers bénéfices attendus du class gift. Un défi ambitieux à relever et a pérenniser !

Romain Soubeyran, directeur de l’École et Antoine Battistelli, délégué général de la Fondation Mines ParisTech, ont d’ailleurs déjà salué cette innovation à MINES ParisTech, lors de l’accueil des nouveaux élèves (la P14, qui devrait prendre le relais), le 1er septembre.

Le class gift sera remis au mois de mai prochain au terme d’une grande campagne menée par les élèves avec leur BDE. Mais on ne vous en dévoile pas plus pour l’instant…Plus d’informations sur le 1er class gift de MINES ParisTech très prochainement !

Les ambitions de MINES ParisTech

4 axes prioritaires de développement ont été identifiés pour les 5 prochaines années. Ils sont détaillés sur le site de la Fondation Mines ParisTech.

Le Palais Brongniart sous le signe de l’innovation.

Près de 700 startups et près de 2000 personnes étaient rassemblées, ce lundi 2 décembre, au Palais Brongniart pour la cérémonie des Grands Prix de l’Innovation 2013 de la Ville de Paris. Chaque entreprise gagnante dans sa catégorie repart avec un chèque de 12 000€ – et avec un chèque de 5000€ pour les “mentions spéciales”.
Philippe Mustar, responsable Innovation et Entrepreneuriat à MINES ParisTech, est le président du jury de la catégorie “Services aux entreprises”.

Pour en savoir plus sur ces Grands prix