Étudiants

Doubles diplômes : l’ouverture à l’international passe à la…

L’École MINES ParisTech lance un nouveau projet, inscrit dans la continuité de ses actions en faveur de l’ouverture à l’international : développer les doubles diplômes.

Un cursus d’excellence qui est de plus en plus apprécié par les entreprises et qui, par la double compétence acquise, offre aux étudiants plus d’opportunités à la sortie de l’École. Ce projet a pour vocation de répondre au besoin de former des ingénieurs capables de travailler dans un environnement pluriculturel et aptes à devenir des leaders de niveau international dans une société globalisée. En effet, l’expérience internationale et la reconnaissance de votre diplôme à l’étranger est au cœur de l’enjeu des partenariats formés par L’École avec écoles et universités étrangères prestigieuses.

L’École souhaite accompagner ses élèves ayant une ambition internationale, quel que soit leurs moyens financiers. Pour développer ce projet, elle compte sur l’appui essentiel de la Fondation Mines ParisTech via le mécénat. Les donateurs ont un rôle crucial à jouer pour le développement de ce projet.
Pour aider les étudiants dans leurs dépenses liées au double diplôme, la Fondation attribue des aides à la mobilité de 600 € par mois. Avec l’aide de la Fondation, l’École a pour objectif d’atteindre 15 % d’étudiants en doubles diplômes d’ici trois ans.

« L’École des Mines de Paris vise à former comme ingénieurs de demain des citoyens ouverts aux autres disciplines et aux autres cultures. Les doubles-diplômes internationaux permettent de répondre à ces deux objectifs simultanément en offrant aux élèves une seconde compétence majeure (après l’ingénierie) dans un contexte international et interculturel. Cela permet aussi à l’école de renforcer ses liens avec les meilleures universités mondiales en offrant à ses enseignants chercheur une porte d’entrée vers la recherche d’excellence effectuée dans ces établissements. » Matthieu Mazière, Directeur des Etudes, MINES ParisTech.

L’École sur le podium entre Polytechnique et CentraleSupélec

MINES ParisTech se classe à la 2e place du Palmarès des écoles d’ingénieurs, publié le 5 février 2019 par L’Usine Nouvelle. L’École progresse de 3 places par rapport à son précédent classement, en 2017.
Ses points forts ? Le salaire annuel brut médian (un an après la sortie d’études) et le pourcentage d’enseignants-chercheurs.

La méthodologie : 4 grands critères de classement

L’insertion des diplômés sur le marché du travail, l’ouverture à l’international, la recherche et la place de l’entrepreneuriat sont les 4 grands crières d’évaluation des établissements. À chacun de ces critères sont affectés un certain nombre d’indicateurs de mesure de performance.

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Egalité des chances : des bourses pour les élèves…

Pourquoi as-tu choisi d’effectuer tes études à MINES ParisTech ?
“J’avais eu de bonnes recommandations de l’École des Mines et je voulais acquérir une expérience internationale significative, apprendre une nouvelle langue et m’adapter à une nouvelle culture, qui n’est pas forcément semblable à la mienne.”

En quoi était-ce important pour toi d’obtenir une bourse de la Fondation ?
“C’était fondamental ! Quand on quitte son pays, on a de nombreuses dépenses, qui sont parfois difficiles à prévoir à l’avance. La bourse de la Fondation m’a permis de venir étudier aux Mines et m’a aidé à me concentrer sur mes études et vivre sans complications majeures. Cette aide a été essentielle dans mes études à l’École. L’existence de cette bourse est essentielle pour l’École : elle permet de renforcer ses relations internationales avec d’autres institutions et encourage les bons étudiants à prendre la décision d’étudier à MINES ParisTech.”

Quels sont tes projets d’avenir après les Mines ?
“Je pense éventuellement faire un Mastère Spécialisé. Après les Mines, je voudrais travailler en France quelques années et continuer dans ma recherche d’expériences internationales.”

“Je voudrais remercier les donateurs pour leur engagement envers l’École et ses élèves. Pour moi, il a été très agréable de pouvoir recevoir cette bourse car chez moi il est très compliqué d’obtenir une bourse. Votre aide a été essentielle dans mes études à l’École. Vous êtes un exemple pour moi, si dans le futur je peux être à mon tour donateur, je le ferai sans aucun doute.”

Propos recueillis par Manon Lavergne

Un ClassGift P17 innovant qui s’engage pour le développement…

La cinquième édition du ClassGift, ou don de promotion, est lancée ! Cette levée de fonds réunissant élèves et anciens élèves est organisée par les étudiants de deuxième année, ici la promotion 2017.
Cette année, l’équipe ClassGift P17 et leur parrain, Eric Ferréol (P87), souhaitent mobiliser tous les alumni des promotions anniversaires (P07, P97, P87, P77, P67, P57, P47) autour du thème de la transition énergétique aux Mines.

« L’Ecole des Mines, grâce à son histoire dans l’utilisation et la transformation des ressources, est un acteur majeur pour inventer les solutions de demain. Imaginez ce que nous, tous ensemble, pouvons faire en s’appuyant sur les compétences de l’Ecole. », explique Craig Pesme.

Une initiative qui a été présentée par Craig Pesme, Président du BDE et chef de l’équipe ClassGift P17, et Eric Ferréol, lors de la Sainte-Barbe et qui fut saluée par les applaudissements des alumni présents. Dans leur discours, le message est clair : « ensemble, on peut relever tous les défis ».
Ici, le défi est de pouvoir financer l’installation de panneaux solaires sur le toit de la Maison des Mines, ainsi que l’expérimentation de tuiles solaires sur le toit de l’Ecole.

« Faire un don pour le ClassGift, et donc pour le développement durable, c’est le meilleur cadeau que vous puissiez faire aux futures générations de mineurs. », souligne Craig dans son discours.

La campagne auprès des élèves de la P17 se déroulera du 11 au 15 mars 2019, lors d’une semaine ponctuée de défis et de surprises, impliquant notamment les membres de l’Ecole (professeurs et équipes administratives). Le 10 mai 2019, le chèque du ClassGift sera officiellement remis lors du Grand Gala, une soirée à l’image de cette action de solidarité intergénérationnelle, où les élèves et les alumni auront l’occasion d’échanger.

Pour plus d’informations sur ce projet innovant, consultez le site des élèves.

Réduire le gaspillage & manger à petit prix

Dix millions de tonnes de nourriture sont jetées chaque année en France. Sensible à ce gaspillage, Lucie, jeune ingénieure quitte son emploi dans l’industrie agro-alimentaire pour créer une plateforme qui met en relation les commerçants qui ont des invendus en fin de journée et les habitants du quartier qui les achètent à petit prix. Too Good To Go est une entreprise de l’économie sociale et solidaire qui emploie 35 personnes et est présente dans neuf pays d’Europe. Plus de 10 000 commerçants l’ont rejointe et cinq millions d’utilisateurs ont téléchargé son application.
Conférence organisée par Pollen, le pôle entrepreneuriat de MINES ParisTech et les élèves de l’option Innovation et Entrepreneuriat.
Lieu : MINES ParisTech – 60, boulevard Saint-Michel – Paris (18h30)
Contact : Philippe Mustar

Employabilité des diplômés

Dans l’édition 2018 du Global Employability University Ranking, publiée le 14 novembre par le Times Higher Education, MINES ParisTech renforce sa position, se classant au 33e rang mondial et au 4e national.

Le choix des recruteurs
Ce palmarès mondial des universités et grandes écoles se fonde sur un sondage réalisé auprès d’un panel de 7 000 managers internationaux dans 22 pays. La France, l’Allemagne et la Chine sont au nombre des pays les mieux représentés, avec le Royaume-Uni et les États-Unis. Avec 10 établissements dans le Top 150, au lieu de 12 l’an dernier, la France arrive en 3e position (derrière l’Allemagne et les États-Unis).

Le classement des établissements français

> En savoir + :
– Lire la dépêche de l’AEF
– Consulter le classement sur le site du Times Higher Education
– Accéder au classement précédent
– Découvrir notre page Classements

Adoptez une machine

En cette rentrée 2018, la Fondation lance un projet original puisqu’elle propose d’adopter… une machine ! Forte du succès de l’opération « Adoptez un siège » où il s’agissait de donner son nom à un siège de l’emblématique amphithéâtre Schlumberger rénové pour l’occasion, la Fondation souhaite cette fois financer l’équipement de l’Atelier, futur FabLab MINES ParisTech, consacré aux étudiants.
La pratique, un élément essentiel dans la formation d’un ingénieur ? C’est en effet la philosophie de l’École, avec sa devise « théorie et pratique ». Les machines à disposition dans l’atelier sont aujourd’hui très sollicitées. Elles sont utilisées dans le cadre des cours (Mécanique, Mécatronique), de projets pédagogiques (Acte d’entreprendre) mais aussi des nombreux concours ou projets personnels des étudiants des Mines.

« La pratique est complémentaire de la théorie et permet d’une part de mieux la comprendre, d’autre part de mieux savoir l’appliquer dans le futur », Léo Chabert, Ingénieur civil, P17.

Indispensables, ces machines sont pourtant insuffisantes actuellement. Avec le projet « Adoptez une machine », la Fondation souhaite impliquer les anciens élèves dans la réussite des étudiants actuels.

« Le ralentissement dû au manque d’accès à du matériel de production nous a fait dépendre de fournisseurs extérieurs, rajoutait des délais inutiles, nous éloignait des problématiques essentielles du projet », Jérémy Dahan, Ingénieur civil, P15.

Grâce à une fiscalité avantageuse, les donateurs pourront devenir acteur de projets innovants en donnant leur nom à un kit d’outillage, un établi ou une desserte mobile (avec un don de 1 000 €), une imprimante 3D (avec un don de 5 000 €) ou encore un poste à souder (avec un don de 15 000 €).

« Je pense que si l’École possédait un matériel suffisant, d’autres projets pourraient voir le jour », Maxence Leroy, Ingénieur civil, P16.

Participation à l’Hydrocontest 2018

Le pli est pris. Cette année, deux bateaux (au lieu d’un en 2017) ont été amenés à la compétition par notre équipe de MINES ParisTech. Mais de quoi s’agit-il ? Rien de moins que de « concevoir, fabriquer et piloter le bateau le plus efficient en termes d’énergie ».
Le défi de l’efficience énergétique nautique et maritime
Avec l’Hydrocontest qui en est à sa 5e édition, le défi lancé par la fondation Hydros aux futurs ingénieurs et architectes du monde entier est d’arriver à transporter plus, plus vite, en consommant moins d’énergie. L’objectif est de développer des innovations technologiques qui pourraient éventuellement équiper les bateaux de demain. Chaque équipe, disposant du même moteur, du même variateur et de la même batterie doit construire un, voire deux bateaux radiocommandés de taille réduite qui participeront :

•    à une course dite « légère », ou chaque concurrent doit transporter le plus rapidement possible un poids de 20 kg sur l’intégralité du parcours
•    à une course dite « lourde », ou chaque concurrent doit transporter le plus rapidement possible un poids de 200 kg sur l’intégralité du parcours
•    à une course d’endurance, ou chaque concurrent doit parcourir, en 1h, la plus longue distance possible tout en transportant 20 kg.

À l’épreuve de la réalité
Pour pérenniser la présence des Mines à l’Hydrocontest, il a donc été décidé de fabriquer deux embarcations. Le bateau pour la course lourde a été, comme l’an dernier, conçu et construit par 4 élèves de 1re année dans le cadre de l’Acte d’Entreprendre à partir de bois et de fibre de verre. Le bateau léger (nouveauté du concours 2018), a été supervisé par un groupe d’élèves de 2e année en cours de mécatronique. Entièrement en fibre de carbone, il a aussi été prévu pour participer à la course d’endurance.
Toute l’équipe garde de très bons souvenirs de cette semaine. Novices dans le domaine de la conception maritime à l’entrée de la compétition, tous en ont tiré de nombreux enseignements : d’une part en concourant aux côtés de technologies de pointe mais également en étant confronté de manière presque permanente à des problèmes techniques urgents (composants en panne, rupture des circuits électriques…). L’équipe a quitté Saint-Tropez avec plus qu’un simple bronzage !

Pas encore sur le podium, mais…
Côtés résultats, notre petite équipe est fière de ses performances contre les plus grandes universités mondiales (32 équipes venant de 15 pays différents).
Première équipe non qualifiée pour les huitièmes de finale après les qualifications en catégorie lourde, avec un bateau pourtant prometteur, les Mineurs seront éliminés de quelques secondes en huitièmes de finale de catégorie légère !
« Cette édition reste une superbe expérience que nous saurons mettre à profit pour l’année prochaine, assure Lauriwen Risset, chargé de la communication d’Hydromines. Nous prévoyons déjà des améliorations sur les bateaux, pour atteindre des performances encore plus satisfaisantes !»

– Les nombreuses photos et vidéos de l’événement et de la construction sont à retrouver sur la Chaine Hydrocontest Mines Paristech
– Pour vous tenir informé tout au long de l’année des différentes évolutions du projet, vous pouvez suivre l’association HYDROMINES sur Facebook

> En savoir + :
Le site officiel de l’Hydrocontest 2018
l‘Acte d’entreprendre à MINES ParisTech
Les projets mécatronique

Remise du Prix Pierre Laffitte 2018

8 candidats, inscrits dans les écoles doctorales en Sciences fondamentales et appliquées (SFA) et en Sciences et technologies de l’information et de la communication (STIC), ont été sélectionnés pour cette 2e édition du Prix Pierre Laffitte. Ils présenteront leur projet à l’oral, tout au long de la journée.
– 3 projets seront récompensés et 1 médaille sera décernée.
Remise de prix et cérémonie de clôture de 15h15 à 16h30
Le 1er lauréat recevra la Médaille Pierre Laffitte, accompagnée d’un chèque de 1500 €, le 2e lauréat un chèque de 1000 € et le 3e, un chèque de 500 €.
Médaille créée en l’honneur du Professeur Pierre Laffitte,  ancien directeur de MINES ParisTech (1972-1984) et sénateur des Alpes Maritimes (1995 – 2008). Personnalité hors du commun et visionnaire, il est à l’origine de nombreuses innovations, parmi lesquelles le développement de la recherche partenariale avec l’industrie et la création de la technopole de Sophia Antipolis.
Lieu : MINES ParisTech – Sophia Antipolis – Amphi Mozart (à partir de 9h)
Télécharger le programme de la journée
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